Des «Maha», il y en a des dizaines, des centaines, des milliers qui vivent dans les confins de la Tunisie profonde. Elle s’appelle Maha. Plutôt, elle s’appelait Maha car elle n’est plus de ce monde, happée par les flots déchaînés de l’oued qui a mis brusquement fin à ses rêves d’écolière. Comme des milliers d’enfants vivant à la campagne, elle …